Aux enfants et petits-enfants de Pierre j'aimerais dire, même si je ne les connais pas, combien je suis triste. Pas tellement du départ de Pierre, que je n'ai plus vu depuis sa retraite professionnelle, mais par la disparition de mon cercle d'amis, à mes yeux inexpliquée, de la famille Paheau. Très intimes pendant les décennies 60 et 70. (vacances communes, soirées hebdomadaires, réveillons ...etc) cette relation s'est arrêtée quand Colette Maquet, mon épouse a affronté sa longue et fatale maladie. Seule Françoise est venue quelques fois, longtemps après, retour de USA, passer avec nous de très agréables heures. J'aimerais, si elle vit encore, qu'elle sache que Christiane, ma seconde épouse et moi, pensons encore souvent à elle. Philippe et Caroline j'avais envie de vous raconter cela. Je vous souhaite la force et le courage dont vous avez peut-être besoin.

José PIROT- 26-09-22