Témoignage
Salut, mon cher Jean ! Ici un de tes vieux profs d'humanités qui a du mal à comprendre comment le destin a eu raison de toi : je te croyais invincible, comme tu le répliquais à ton papa.
Merci, la vie, de m'avoir fait croiser le cheval de race que tu étais. Galope à présent dans la joie des éternelles prairies (sans trop remettre en question ce qui se passe là-haut.)
J'espère que tu as légué aux tiens le courage qui te caractérisait. Paix à vous tous.
Auguste Fourneau
- 13-10-21