| Monsieur Guy ROLLMANN Monsieur Rollmann, où que vous soyez, "en ces lieux reclus à d'incertaines fins, toujours formant le centre du paysages" ? "Site où le tems se froisse en poudre imperceptible"? Est-ce venu le temps des" paroles qu'on dit sur le seuil, Secret qui se mêle à l'adieu, Tandis que la brise du soir distrait la mémoire à jamais" ? Vous avez encouragé mes premiers à la lumière de la poésie "...continuez à écrire... Croire en la vie, même si tout ne correspond pas à l'idée qu'on s'en fait", cela contribue grandement, croyez-moi, à surmonter les monts et vaux , à cheminer et à rester en connexion avec son propre ressenti. La sensibilité à l'autre fait la grandeur de l'homme dans toute son humilité. Inoubliable Monsieur Rollmann, mes pensées vous ont rejoint à maintes reprises, depuis mes 13 ans...j'en ai 64 ! Doux repos dans" le linceul achevé".
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