| Monsieur Guy GOFFETTE Ne pouvant malheureusement pas assister aux funérailles de Guy, il me reste, depuis le Périgord, la plume pour exprimer toute mon empathie à chacune et chacun qu’il portait dans son cœur. Que la pensée d’une autre Vie sur son chemin vers l’Invisible atténue la douleur de son départ. Je garderai toujours en mémoire un de ses poèmes « Les heures » que j’ai eu le plaisir de mettre en musique (en 1987) et qui se referme avec ces mots, qu’on pourrait presque dire de circonstance : « … le dormeur près du toit mesure à grands coups d’ailes immobiles la mer assujettie entre ses tempes. » La voix singulière de Guy ne résonnera plus dans la partition familiale, mais elle sera silence, dont aucune musique, y compris celle des mots, ne peut se passer.
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