| Monsieur Patrick DURDU Il me battait au tennis, mais je ne lui en voulais, je l'aimais bien, Patrick. Il avait l'amitié chaleureuse. Quand j'ai été opéré, il y a quelques années, il a voulu me témoigner ses encouragements en m'invitant à boire un petit verre chez lui; je n'ai pas répondu directement à son invitation, et depuis lors il me rappelait, chaque fois que je le rencontrais, qu'une bouteille de vin blanc m'attendait dans son frigo. Le petit vin blanc, je devrai donc le boire sans lui, hélas. Je le boirai à son souvenir.
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